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Le Jugement des glaces de Jean Jauniaux
Au préalable je dois exprimer ma proofonde gratitude envers Nicolas Babelio
et aux éditions M.E.O pour l'envoie de cet ouvrage :
Le Jugement des Glaces de Jean Jauniaux.
Drole de coïncidence ,la même prononciation que Jean Giono!
Désolé d'être long , mais il le faut pour exprimer mon ressenti.
L'auteur sait ,tout le long de ce roman, nous émouvoir simplement en extirpant le mal vivre,de la mémoire de Barthélémy ,le personnage principal, et narrateur .
Un témoignage réel.
D'entrée ,dès les premières pages ,on sent qu'il y a quelque chose, comme des braises rouges dans une cheminée qui attendent ,calmemant ,la grosse buche
pour la bruler . Notre héros Barthélémy un professeur d'école attend le moment propice pour se montrer tel qu'il est .
On dirait ,me suisje dis, un début de roman policier.
Jauniaux à les mots pour accrocher le lecteur. Barthélémy :""croise un homme sur un trotoir qui lui donne le frisson en le frolant pour le laisser passer,ce fantôme lugubre semblable à la mort avec sa faux""
Et bien à ce niveau j'ai été scotché et là ,j'ai lu,jusqu'a plus soif.
L'écriture de l'auteur est fluide, simple ,mais fleurtant avec du fantastique ,ponctué de poésie, dans un conte digne des célèbres anciens conteurs, que l'on écoutait le soir à la veillée .
Les phrases s'enchainent avec brio,humour,sarcastiques,tendresse.
Cette silhouette s'appelle Zanzibar (encore un nom concocté de mystère à venir)
Ils vont devenir amis et chaque jour ,ils se retrouvaient, parlant,parlant. Zanzibar était fournisseur de la cour des miracles, en cul de bouteille de vin , Barthélémy
écrivait un guide sur la vie nocturne de Bruxelle.
Là je me suis dis "ou veux nous mener Monsieur Jauniaux? et j'ai continué à lire ,lire et lire encore .....
C'est juste le début . J'ai compris que , dans ses errances nocturnes , en faisant parler des gens rencontrés au hasard pour Barthélémy,était un éxutoire afin de sortir de l'enseignement si violent.
Là commence sa nouvelle vie à Saint Idesbald.
Jean Jauniaux, a un vocabulaire riche ,puissant , ses mots sont triés avec soin, les tournures de phrases sont empreintes d'humour,de sarcasmes, un langage tendre,dans un fourbis ,un capharnaüm, elles en disent long quant à la teneur de l'histoire. C'est ce que j'ai aimé .
Tout cet ensemble tend à nous faire entrevoir la véritable passion de Barthélémy de refaire sa vie cette recherche
en soi devient une nouvelle priorité.
Le petit village de SaintIdesbald est le seul lieu ou il pourrait se reconcilier avec lui même.
L'histoire nous accapare, un autre personnage van Drogenbos, qui est employé dans l'administartion immobilière communale Un illustre bonhomme équipé d'un cuistax-traineau de sept chiens le mushing(comme sur la première couverture )
Il va s'employer à vendre une maison àBarthélémy.
Peu à peu les sentiments échangés par les deux hommes ,engendrent une fusion d'émotions et je cite :
""d'engagemnts qui scellent les pactes du coeur""
Que j'aime cette écriture , ces personnages attachants, cette simplicité qui nous procure une paix intérieure
comme celle que recherche Barthélémy. Les deux comparses avaient une entente pure ,une complicité affectueuse Laurel et Hardy comme stipule l'auteur ;excellent !
Les lettres, les mots, les phrases de Jauniaux sont celle de Barthélémy. Elles s'écrasent sur le papier blanc , se chevauchent comme les vagues d'écumes qui se brisent sur la plage accompagnées d'un frétillement de bulles ,de mousse blanche qui éclatent et disparaissent . Des grains de sable vont et viennent ,repartent et reviennent comme un leitmotiv.
Les points de couleurs deviennent raies de lumière sur la toile blanche que Barthélémy peint.
Tout s'effiloche telle une vieille pensée revenue .
Ce livre est sublime ,je m'y retrouve au travers de Barthélémy ,pour moi un coup de coeur 2024.
Il y a trop de chose à vous dire ,le bateau du début avec Zanzibar , la maison ,le bunker enterré,la roulotte faceà la mer ....
L'histoire reprend ses droits la petite ,dans la grande ,
car tout ça a un sens profond .
Un jour Barthélémy rencontre un groupe de réfugiés Tchetchènes ,un homme entre deux ages ,une femme , deux petits garçons et un jeune Russe (vous le verrez plus tard )qui à fuit son armée .Qui sont ces personnages qui marchent vers un mirage !
je cite ""Point d'exclamation comme une épée de l'alphabet dressée vers le ciel....""
Cette rencontre est une Rédemption pour Barthélémy elle concrétise l'espoir!
Vous verrez cette deuxième et troisième partie sont magnifiques
elles me font penser à la chanson de Clara Luciani ""Sous mon sein, là, regarde
Sous mon sein, la grenade Prends garde""
Il y a tant de choses à dire! que mes idées se bousculent ,trépignent et ne sortent pas comme je veux
car ce serrait trop long .Vous saurez que veux dire"le jugement des glaces "
qui est la conséquence de trois lettres , E,T,C
Qoiqu'il en soit lisez le 172 pages de bonheur , de pur bonheur!!!
Fabiolino
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C'est moi qui décore le murs du fond
L'entrée du hangar . c'était une ancienne école du village .
Prise de vue panoramique
Et voila la déco du mur fini et votre artiste Fabio qui pose !!
6 commentaires -
c'est à mon avis un chef d'oeuvre !
Je me pose la question ! et si cela nous arrive?
imaginez votre maison ou plus rien autour existe !vous avez 17 ans et votre soeur à 18 ans !
c'est le cas de Nell et Eva,isolée dans une forêt.
Plus de parents,éloignées des autres, si l'on vous arrache une à une toutes les choses auxquelles vous tenez,
Ce que l'on a connu n'existe plus, l'électricité, l'essence, enfin toutes les modernités net, ordi et autres ont disparus ,
vivant sur les réserves de la maison,réapprenant à vivre dans la nature qui elle n'a pas changé,
pleine de dangers et de ressources à la fois. Comment nous ferions ?
C'est une question sur laquelle devront se pencher Nell et Eva, les deux héroïnes de ce fabuleux roman.
C'est sauvage ,dur, troublant parfois mais toujours juste et percutant.
Troublant car il ya des scènes, bizarres à mon sens ,mais qu'importe ,ce qui reste aux deux héroines se sont les relations humaines; et les obis , qu'elles pratiquent,
la danse classique pour Eva et pour Nell l'écriture ,l'étude la littérature.
Jean Hegland,nous livre un texte empli d'une énergie brute, sensuelle, qui se passe dans les grandes forêts de Séquoias ou la vie naturelle et réelle existait il y a longtemps.
On a tendance à croire que l'autrice ,veut dénoncer ,nos modes de vies actuelles ? oui ! assurément
La surproduction , nos consommations le dérèglement climatique ETC... on en parle chaque jours.
Mais elle veux nous amenner en priorité, a voir de qu'elle manière, et de qu'elle façon on peut changer cela.
Elle l'a fait au travers une histoire pleine d'espoir sur ces deux jeunes filles .
Voila la trame de cette belle oeuvre .
Une écriture ,puissante , beauté des paysages , poèsie aussi ,une force de vivre face à la peur la violence et la mort.
l'histoire s'accélère au fur et à mesure des pages ;on sent que quelque chose va arriver mais quoi ?
Vous le saurez après l'avoir lu.
Un roman de toute beauté,que vous allez lire très bientôt,je l'espère pour vous car il ne faut pas passer à coté de cette, littérature ou l'humanité se manifeste
à fleur de peau.
Bonne lecture !mes amis,ayez dans la poche toujours un briquet,un opinel , un sac ou il y aura dedans des allumettes, des jumelles, et des bricoles pour quelques jours , une loupe importante la loupe ,car avec le soleil on fait du feu !!
Un livre aussi ; "dans la forêt"
Tchao ,tchao
Fabiolino ,le provencal italien .
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AUTOBIOGRAPHIE D'UNE FEMME EPURE
Je suis née , dans les méandres fertiles, imaginatifs, fantastiques
du cerveau en pleine ébullition d'un dessinateur averti
Dans une petite case à tiroir , il m'avait imaginée,
Mes formes , mes couleurs prirent consistances , chaque nuit ,
lors de son sommeil quand enfin son cerveau libèrait toutes ses neuronnes
pour une danse effrénée, sans même qu'il s'en aperçoive.
Dés le matin j'étais remisée dans cet endroit secret , ou je ne sortais pas .
Au fur et à mesure du temps, je pris conscience de ma vie
et j'attendais ces moments de folies la nuit avec impatience ou je dansais avec
ces cellules neurologiques , dans un bain vivifiant ,dans un rêve grandiose
à la grande joie de son cerveau .
Mais dés le matin , j'étais remisé dans cet endroit secret , ou je ne sortais pas .
Et son esprit , chef d'orchestre de son corps reprenait son travail de routine
m'oubliant ..... seule ..... j'attendais mon heure .
Quelquefois , je me sentais transformée, mon visage , mes membres , ma tenue .
"Je n'aime pas la façon dont tu veux m'affubler , l'artiste , je ne suis pas guerrière"
Un jour , lassée je t'ai appellé .
"hé! dessinateur , je veux naitre enfin , je veux sortir du tiroir de ta mémoire"
Tu m'as entendu !
je le sens ! à présent l'ultime moment ou de sa mémoire je vais descendre et parcourir le chemin ,
le long de son bras , vers sa main jusqu'au bout de la mine de plomb que tient ses doigts .
Le voila qui s'affaire et me dessine , me donnant la vie !
encore un peu ! tu as presque fini ! mes jambes , mes pieds !
oh ! comme tu m'as fais belle ! comme j'aime mon épure fragile !
Dans un effort grandiose ! j'enfreins les lois de la platitude.
J'ondule sous les traits de sa mine , je m'extirpe du carcan de la raison sortant de la feuille blanche qui fut mon lit ,
entrant dans le rêve qui illumina sa vie .
Virevoltant ! dansant une farandole effrénée sur la boite à couleurs, j'étais heureuse .
Mon géniteur n'en croyait pas ses yeux ! une brise légère deplacait les pastels et m'en revetait tout mon corps !
"suis je belle ? " lui murmurais je
"oui comme je t'ai pensé depuis la nuit des temps "
Le jour je rejoins mon cadre.
Le soir , il laisse la porte de son atelier ouverte, la lumière m'appelle , je redescend ! gracile épure diaphane de cristal !
Je vais vers lui qui m'attend, le coeur dans le secret de ses rêves les plus secrets , les plus beaux .
Il vieillira , je vieillirai malgrès le vernis de ma couverture!
mais personne ne saura , l'étrange histoire d'un amour entre une esquisse , une épure de femme féerique
et un humain osant vivre ses rêves les plus fous.
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VOICI MES AMIES DES PHOTOS SUPERBES SUR :
La mésaventure terrifiante d'une jeune mère courageuse, qui s'est battue pour garder
en vie Astro, son cheval bien-aimé.
Ce dernier, dans un mouvement de panique en pleine promenade,
a basculé dans cette boue et est resté coincé à cause de son poids,
l'eau de mer se refermant peu à peu sur lui et faisant agir le tout
comme des sables mouvants.
Épuisée et éclaboussée de boue, Nicole Graham s'est accrochée à son cheval piégé
pendant trois heures en lui gardant
la tête haute hors du sable, dans une course contre la marée.
Après des soins par le vétérinaire , à force de douceur ,
et une connivence sans faille du cheval et de son maître
il essaye de sortir mais épuisé il se résigné et ne bouge plus
Nicole Graham lui parle sans arrêt en attendant que le tracteur d'un ami puisse le tirer ,
mais la marée monte et tout le monde à peur !
enfin l'engin est là et tous se monopolise pour aider avec des sangles
il est retité de la boue
MAGNIFIQUE OPERATION DE SAUVETAGE
Le cheval est fatigué de tous les efforts qu'il a accompli
Je suis sur que sa ration d'avoine a été la bienvenue !!
tout est bien qui finit bien !
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Au XVIIIe siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages
les plus géniaux et les plus horribles de son époque.
Il s'appelait Jean-Baptiste Grenouille.Sa naissance, son enfance furent épouvantables et tout autre qui lui n'aurait pas survécu.
Mais Grenouille n'avait besoin que d'un minimum de nourriture et de vêtements et son âme n'avait besoin de rien.
Or, ce monstre de Grenouille, car il s'agissait bien d'un genre de monstre, avait un don,
ou plutôt un nez unique au monde, et il entendait bien devenir, même par les moyens les plus atroces,
le Dieu tout puissant de l'univers, car " qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le cœur des hommes ".C'est son histoire, abominable... et fantastique qui nous est racontée dans Le Parfum,
un roman qui, dès sa parution, eut un succès extraordinaire et est devenu très vite un best-seller mondial.A vue de nez, un chef-d'œuvre. (Bernard Pivot.)
Ici, chaque page sent, on n'a jamais lu ça.
Odeur de fleurs, de tourbe et de sanie, tout est mêlé, avec une extraordinaire virtuosité...
(Sylvie Genevoix, Madame Figaro.)Ci dessous je vous poste quelques photos du film que je vous engage à voir , superbement réalisé
qui colle avec exactitude au livre ( il existe en DVD)ci dessus Grenouille avec son maître parfumeur
Cueillez-le, sentez-le, humez-le à vous en étourdir.
Ayez du flair, du nez, du tarin, ne passez pas à coté !
J'ajouterais qu'à ce prix, un tel Parfum, dont l'arôme n'a d'égal que la générosité, en est presque indécent...
La perfection olfactive a un prix et pour ce faire, votre vie, aux yeux de Grenouille, n'en a aucun
Je ne vous dévoile pas la suite je vous poste des CITATIONS qui vous insiteront à lire absolument , ce monumentA dater de ce jour, en revanche, il lui semblait savoir enfin qui il était vraiment : en l'occurrence,
rien de moins qu'un génie ; et que sa vie avait un sens et un but et une fin et une mission transcendante :
celle, en l'occurrence, de révolutionner l'univers des odeurs, pas moins ; et qu'il était le seul au monde à
disposer de tous les moyens que cela exigeait : à savoir son nez extraordinairement subtil,
sa mémoire phénoménale et, plus important que tout, le parfum pénétrant de cette jeune fille de la rue des Marais,
qui contenait comme une formule magique tout ce qui fait une belle et grande odeur, tout ce qui fait un parfum :
délicatesse, puissance, durée, diversité, et une beauté irrésistible, effrayante.il sentait qu'elle était un être humain, il sentait la sueur de ses aisselles, le gras de ses cheveux, l'odeur de poisson de son sexe,
et il les sentait avec délectation.
Sa sueur fleurait aussi frais que le vent de mer, le sébum de sa chevelure aussi sucré que l'huile de noix,
son sexe comme un bouquet de lis d'eau, sa peau comme les fleurs de l'abricotier...
et l'alliance de toutes ces composantes donnait un parfum tellement riche, tellement équilibré, tellement enchanteur,
que tout ce que Grenouille avait jusque-là senti en fait de parfums, toutes les constructions olfactives qu'il avait échafaudées
par jeu en lui-même, tout cela se trouvait ravalé d'un coup à la pure insignificanceEn vérité, Grenouille, la tique solitaire, cet être abominable, ce monstre de Grenouille, qui n'avait jamais éprouvé l'amour
et ne put jamais l'inspirer, était ce jour de mars sous les remparts de Grasse, et il aimait, et cet amour le rendait profondément heureux.
Certes, il n'aimait pas un être humain ; n'allez pas croire, par exemple, qu'il aimait cette jeune fille,
là-bas, dans la maison au-delà du mur. Il aimait le parfum. Lui seul et rien d'autre, et encore l'aimait-il parce que ce serait le sien.Lui voulait fuir , pour l'amour du ciel, fuir ,mais où? Il vvoulaitcraquer,voulait exploser,pour ne pas être
étouffé par lui même
Finalement il s'effondra....
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Mathias Malzieu, chanteur du groupe Dionysos,
nous offre un livre magnifique rempli des plus beaux sentiments humains " La Mécanique du coeur "
un conte poétique avec une kirielle de mots ,de phrases
quelquefois étranges sur la passion amoureuse.
Je ne peux pas dévoiler le scénario du livre ,ou l'histoire comme vous voulez car le film existe aussi en animation
et il est super ! je vous dis juste :
Né le jour le plus froid du monde, Jack se voit affubler d'une horloge à la place de son coeur gelé.
Un tel dispositif implique de grandes précautions .
Les personnages sont dépeints avec grandeur dans leur role à jouer ; Jack, Miss Acacia , et Joe .
le personnage Jack évolue avec rigeur au court du récit, et son temps passé avec Mis Acacia ,lui apprend
que pour vouloir vivre ,et aimer il faut lutter sans arrêt et être toujours dans le chemin de la vérité ,
sans mensonge .
Pour arriver à cela Malzieu utilise une écriture poétique magnifique pleine de tendresse et d'espoir !
C'est simple à lire accessible à tous petits et grands on en tire des moments merveilleux , de joie ,de peine
enfin on vit avec le livre !
Après le livre, et le disque, Mathias Malzieu décline sa « mécanique du cœur » en film d’animation .
Le film a été projeté au Rendez-vous Unifrance, et c’est à cette occasion que je l’ai découvert.
Le titre est :
« Jack et la mécanique du cœur » fera – t-il battre votre cœur ou vérifier la mécanique de votre montre ?
Pour moi , cela fut une belle découverte.
Voila bonne lecture les kikis ou bonne écoute et de plus bonne visualisation du film
qui est très chouette
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Le collier rouge c’est l’histoire d’un homme , d’une femme , d'un chien et d'un juge .
cet homme ?: est en prison
.pourquoi ? (impossible à dire dans la critique car on dévoile la trame du livre ,mais je peux juste vous dire que c'est pour une bêtise )
la femme ?: attend son amour perdu
le chien ? un chien de guerre qui ne comprends pas que son maitre n'est pas avec lui et qui aboie sans arrêt.
Le juge ? :qui se demande ce qui est le plus important : sa position de juge actuel? ou le rôle qu’il a joué pendant la guerre
dans son adversité .
C'est l'histoire des vies , situées dans un temps totalement bouleversant de la guerre
mais qui peuvent engendrer des belles choses !
Ce roman est agréable, c’est une histoire simple, mais magnifique dans son humanité
Jean-Christophe Rufin raconte les histoires avec ferveur et pleines d'amour .
Ses dialogues sont entrecoupés de récits et donne à nous lecteur une sorte de stress
Ce roman est une sorte d ’enquête que réalise le juge avec des rétrospéctives du passé et du présent
du militaire fait prisonnier (qui est, il faut le dire Français et qui a fait la guerre dans son pays )
il y a de l'amour , du doute , de l'orgueil , de l'incompréhension, tout cela avec des phrases courtes qui visent juste.
Le Collier rouge n’est pas le roman qui va éclater dans la littérature
mais moi je suis fan c'est mon ressenti il a le mérite d'être lu et d'exister dans ce monde !
La fraternisation a existé ! stop (j'en ai trop dit chutt.......)
lisez cette fresque importante
Jean Christophe Rufin a été élu en 2008 à l'Académie française, dont il devient alors le plus jeune membre.
Voilà l'adaptation du livre en un film qui, certes, ne révolutionnera pas l’histoire du cinéma mais qui a le mérite de mettre l’accent
sur des scènes de fraternisation entre soldats ennemis durant la guerre de 14 et de dénoncer les puissants
et les profiteurs à l’origine de cette guerre.
Concernant l’interprétation, on retient surtout la présence et le jeu de Sophie Verbeeck,
une jeune comédienne franco-belge dont la carrière s’avère prometteur.
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Je n'ai pas de critique à faire sur mon écrivain pilote poéte
Saint Exupéry alors j'ai choisi cette chanson qui résume tout , chanté par Calogero
Je transporte des lettres, des rêves dans les étoiles
Je suis facteur du ciel pour l'aéropostale
Je regarde le monde depuis mon appareil
C'est beau comme vu d'ici on a tous l'air pareil
Je rêve dans mon ciel solitaire
Qu'on soit tous un peu solidaire
Voler de nuit comme St. Exupéry
Voir le monde d'en haut sans le prendre de haut
Voler de nuit, voir ce qui nous unit
Sonner l'écho que nous sommes tous égaux
Vu d'en haut ces frontières, ces lignes qui nous écartent
Ne sont que des dessins, des traits sur la carte
Derrière chaque maison, des gens rêvent, des gens s'aiment
C'est beau comme vu d'avion qu'on a l'air tous les mêmes
Je pense à ça dans mon ciel si vide
En bas éclatent des guerres civiles
Voler de nuit comme St Exupéry
Voir le monde d'en haut sans le prendre de haut
Voler de nuit, voir ce qui nous unit
Sonner l'écho que les hommes sont égaux
Si je suis descendu, je ne regretterai rien
J'étais fait pour planter des fleurs dans un jardin
Certain soir il me semble entendre dans le cockpit
Comme une voix d'enfant entre les parasites
Un enfant qui dit s'il vous plaît, monsieur, dessine-moi la terre
Oh, voler de nuit comme St Exupéry
Voir le monde d'en haut sans le prendre de haut
Voler de nuit, voir ce qui nous unis
Rêver dans l'ombre le réveil du monde
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Ma créa et mon texte
Dans les plus hautes profondeurs de l'univers
il y a un oeil qui voit ... qui voit... sa pauvre terre!
ou les glaces blanches fondent .. fondent..
ou les océans , les mers , les fleuves , les rivières ,débordent..
débordent.. débordent.. rejettant tout les détritus que les hommes laissent
Il voit... il voit ... le vert des arbres devenir gris rouillé,
il entend ... il entend ..les volcans qui grondent... grondent ...
prêt à ouvrir la terre et saigner de toutes leurs veines embrasées .
Il pleure .... il pleure ... des filigrammes de couleurs régénerants
rien n'y fait tout est à l'envers !!
Il voit aussi ... le jeune gamin des temps anciens , insouciant
soufflant une mélopée dans son pipeau , parlant ainsi au papillon
attentif qui va repeupler sa terre !!
Il sourit ... il sourit ...
alors, car l'espérance réside encore dans ce monde,
Il sait ... il sait ... que l'homme reviendra vers lui ....
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la ou chantent les écrevisses : Le livre qu'il faut avoir lu !!
Un vrai, un merveilleux roman! aux accents naturalistes et mélancoliques, avec une enquête policière
mais qui ne s'oppose pas à la réalité de ce livre ,un hymne à l'amour des choses simples !
L’auteur Elia Owens s'est fait connaitre par son premier roman :celui ci .
elle est née en 1949 en Géorgie, aux États-Unis. Diplômée en zoologie et biologie,
elle a vécu plus de vingt ans en Afrique.
C'est extraordinaire que cet ouvrage ,son premier redis-je a été vendu à des millions d'exemplaires dans le monde entier?
Pourquoi ? je pense à mon avis que c'est parce qu' elle a maitrisé le " décor " de son oeuvre,
Elle a construit son intrigue telle une naturaliste, qui sait de quelle faune et flore elle parle,
elle nous fait voyager dans les marais et nous plonge dans le Sud des Etats-Unis
pendant les années 1950 à 1970 que l’on s’y croirait.
Le temps suspend son cours et ce n’est que le début, car de fil en aiguille , on lit,
et on se sent projeter dans cette nature, hostile si on y va en touriste, mais pas pour
Kya, une petite fille abandonnée, qui grandi seule dans les dangereux marécages
de Caroline du Nord. Cette solitude, la rend réticente à exprimer ses sentiments.
Et évidemment, comme toujours ,quand on ne vit pas comme les autres , aux yeux des habitants du bourg ,elle devient
la "Fille des Marais" même plus son prénom est prononcé , ce qui est assez dur.
" Là où chantent les écrevisses " est une merveilleuse ode à la nature.
C'est un espace de lumière où les éléments prennent vie sous les descriptions
précises et pleines de poésie , qu'Elia Owen nous propose. Et cela n'est pas romanesque c'est du réel .
Ce livre m'a enrichit quant aux regards que je pose sur tout ce qui m'entoure.
Et si je vis en symbiose avec ma planète , que se soit dans les pays ou existent des forêts sauvages , ou dans les endroits désertiques,
dans les glaces du grand nord, et bien d'autres , nous avons nos comportements qui changent.
Elia Owen sait nous maintenir en haleine jusqu’à la toute fin, grâce à l'ampleur de beauté de ses phrases.
et aussi par l'exactitude de son langage limpide qui coule de source ,
Un premier roman très maîtrisé, au succès amplement mérité.
On reste scotché par le dénouement !!
Je ne vous direz plus rien si ce n'est que lire ce livre, m'a procuré un plaisir certain, et je souhaite que ce plaisir
se concrétise aussi pour vous
Il y à un seul petit bémol , ? c'est le mot Fin !
Le dénouement m'a chaviré !!!!!!!!!!
❤️
2 commentaires -
DE FABIO MAURICE
LES FEMMES....
..Femme moderne ,
femme fashion , parée de tous les atouts métalliques
mettant en exergue , vos coiffes futuristes aux éclats excentriques
femme au teint de cire , ou d' ambre mystique
évoluant dans des sites , féeriques , fantastiques
je vous aime
Femme nature,
parée de lin , de voile satinée
cheveux au vent, parmi des fleurs emplies de rosée
aux gestes , amples et raffinés
je vous aime
Femme fatale,
femme aux grands yeux noirs
surlignés de peinture vives
aux corps moulés dans des draperies bleutées
aux allures lacives, dans une moue dubitative
rayonnante de colliers fétiches
je vous aime
Femme enfant,
jeune pousse de printemps
respirant la fraicheur , d'une source bordée de cresson
couverte par des tissus de pétales de roses
reflétant les premiers rayons de soleil
dans vos yeux pétillants , pleins de promesses vermeilles
je vous aime
Femme passion,
femme au corps bronzé , couverte juste d'une huile moirée
aux formes d'amphore , traversant sans rides les temps
femme aux sentiments passionnels , enflammant les coeurs
d'un feu qui ne s'éteint jamais ,
je vous aime
Femme tendresse,
femme enfin tant attendu , si sensible comme une mésange
femme rêveuse , aux yeux langoureux , habillé de blanc
pure comme une icone , vous attendez le jour , la nuit ,le vent
qui entrainera vos solicitudes dans un lointain nostalgique
femme de douceur ou je veux m'endormir , bercé par vos chants mirifiques
je vous aime
je vous aime
hommage à la gent féminine
2 commentaires -
Premier de cordée. c'est un coup de poing dans la série des grands romans récits ,réalités et sociologique .
C'est un produit Bio, malgré je vous l'accorde, les instants dramatiques de l'histoire et sans en dévoiler le déroulement , l'auteur
a su reproduire en se servant d'un fait réel car tout le monde sait la trame de cette l'histoire :
C'est l’image forte, de l’aiguille du Dru, ou Jean Servettaz à été foudroyé .
Frison Roche a su créer l’ambiance qui va nous emporter tout au long du livre.
Au fil des chapitres il va nous révéler les imbroglios du milieu si particulier de la haute altitude,
les us et coutumes ancestrales, les rapports humains dans ce métier de guide de haute montagne et les habitants et hôtes
de cette région si magnifique .
Dès les premières lignes, il nous rend par sa description minutieuse ce qui est normal pourtant , le coté magique et féerique des paysages .
je vous cite une phrase simple mais emplie de sérénité : « Les deux hommes avaient quitté Courmayeur le matin même, à l’heure où la rosée nocturne
s’évapore en fumées bleues des lourds toits de lauzes grises. »
Le livre n'est pas nouveau il date de 1942, c'est un style spécial , avec des images, avec beaucoup de comparaisons ,
c'est frais ,froid, dur, dangereux , et beaux !
Bizarre ce livre plait toujours pourquoi? Quand je l'ai relu j'ai ressenti ces émotions qui font palpiter le cœur, et nous entrainent dans
une lecture rapide (pour savoir), et même tenté d'aller plus loin dans les pages pour être soulagé !!
Frison roche maitrise la description de lutte , des alpinistes envers les éléments de la montagne
On sent qu'il a vécu certaines des scènes d'actions. Nous même on s'y croirait.
Pourtant il a écrit son roman (réalité je confirme ) en Afrique !! quel contraste !
C'est un appel d'amour de son pays la Savoie qui lui vienne en souvenirs c'est pourquoi il restitue
bien avec véracité son amour de la montagne par la magnificence des paysages et son impitoyable cruauté.
Un livre à lire pour ceux qui ne l'ont pas encore fait , et à relire comme je viens de le faire ,avec un ressentiment
de bien être au chaud sous la couette pendant que nos personnages se gèlent (c'est pas beau Fabiolino!! de faire comme tel)!!
Et quoi ? vous n'auriez pas cru que j'allais le lire la nuit dehors au froid ?
A bientôt mais couvrez vous bien la communication de froid est sidérante
c'est le talent de l'écrivain Roger Frison Roche !
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Christine est une Plymouth Fury 1958 de couleur rouge et blanche (sang et ivoire), modèle qui en soi est déjà unique, une aberration.
Véritable monstre sur roues, elle apparaît d'abord comme un infâme tas de ferraille.
La fascination qu'elle exerce aussitôt sur Arnie Cunningham est équivalente à la répulsion qu'elle soulève chez les autres.
Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point et le jeune homme est le seul à percevoir la beauté intérieure de l'affreuse carcasse, qui fait écho à la perception peu flatteuse qu'il a de lui-même.
En signant ce pacte faustien qu'est l'acte de vente, il va lier son destin à celui de la voiture
La voiture tourne à l'obsession (voire à la possession) et le caractère du jeune homme se modifie grandement à son contact Et ce n'est qu'un début.
Christine se montre d'un caractère jaloux et légèrement rancunier... voire beaucoup.
Elle porte à merveille son qualificatif de "Fury"!
Ce roman est très bien conçu et offre un intéressant panel de jeunes adolescents américains de 1978.
Les personnages sont bien campés. le harcèlement envers Arnie rappelle évidemment le sort de Carrie White, persécutée par ses "camarades" de classe. Il y a aussi Leigh, la douce petite amie d'Arnie..... et bien d'autres je vous laisse découvrir
King montre aussi des rapports pas toujours simples entre parents et enfants.
La mère d'Arnie est particulièrement dominatrice, manipulatrice . Ce n'est d'ailleurs pas le seul exemple dans l'oeuvre du King.
Celui-ci maintient un suspense incroyable tout le long du roman, réservant à ses lecteurs quelques descriptions particulièrement horrifiques dont il a l'art.
Le final et l'épilogue sont, enfin, de toute beauté et atteste de la force et du talent de King, jusqu'au bout.
C'est un régal , tout va en crescendo, on ne quitte plus sa lecture .
Le style de cet auteur me touche toujours.
Il a vraiment beaucoup de talent pour décrire et développer la psychologie de ses personnages, et ce livre ne fait pas exception.
Déja la fin ? zut encore merci Monsieur Stéphen King , on en redemande dans ce genre !!
NB : le film confiée au maître du fantastique John Carpenter, remportera à sa sortie en 1983 un coquet succès public et critique, et sera auréolé d'une sélection au Festival du Film Fantastique d'Avoriaz.
QUELQUES EXTRAITs
Quand j'ai vu cette voiture, j'ai ressenti une incroyable attirance vers elle...Je ne me l'explique même pas bien moi-même. Mais...(ses yeux gris se perdirent au loin pendant quelques instants)...mais j'ai compris que je pouvais l'améliorer.
-La retaper, veux- tu dire?
-Ouais...enfin, non; c'est trop impersonnel. On retape les voitures ordinaires ;on répare une table, une chaise ou la tondeuse à gazon; des trucs comme ça.(Sans doute vit-il mes sourcils se lever d'étonnement. Il poussa un rire ,un petit rire défensif.).Oui, je sais que cela a l'air bizarre de dire ça .Cela me déplait ,même, de dire une chose pareille. Mais t'es un vrai ami, Dennis ,ce qui autorise un minimum de conneries, pas vrai? Eh bien je suis persuadé que ce n'est pas une voiture comme les autres. J'ignore pourquoi je pense cela...mais c'est ce que je pense.
Christine avançait lentement, cahotant de-ci de-là comme une vieille ivrognesse montant péniblement une côte. La neige tombait de plus belle, inclinée par le vent.
Un des phares démolis par l’assaut clignota et se ralluma.
Un des pneus crevés se mit à se regonfler, puis ce fut le tour de l’autre.
La fumée diminua.
Le bruit irrégulier du moteur retrouva un rythme normal.
Je crois que les émotions et les événements possèdent une certaine... résonance qui se prolonge. Il est même possible que les émotions se propagent dans certaines circonstances inhabituelles... un peu comme le lait prend l'odeur d'un autre aliment au goût plus fort, dans un réfrigérateur.
Le moteur poussa un hurlement et Christine lui bondit dessus. Buddy cria et se jeta encore une fois de côté, mais cette fois le pare-chocs avant lui mordit le mollet et lui cassa l'autre jambe
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TENDRESSE DE LA VIE DE FABIO MAURICE
Oh! que de tendresse dans ton regard
Oh! que d'amour dans tes yeux !
leurs paillettes captent subrepticement un reflet de lumière
et renvoient dans mon âme toute la douceur .
La quiétude du soir s'appesantit
sur mes paupières lourdes ,
au delà des murailles de l'incertitude
virevolte mon esprit empreint de lassitude .
Oh! que de tendresse dans ton regard
Oh! que d'amour dans tes yeux !
Tu les entrouves et fixes les miens, un faisceau transparent
traverse mon coeur et l'emplit de joie .
La plénitude du soir s'installe
sur mon corps harassé de labeur
parmi les chaînes qui entravent ma liberté
un maillon casse et libère enfin mes pensées .
Oh ! que de courage dans ton regard
Oh! que d'amour dans tes yeux .
Tu les ouvres enfin , un étau de tendresse m'enserre ,
je les ferme et m'abandonne dans ta lutte.
La finitude de mon espoir s'installe
sur ma vie constellées de lumignons salutaires ,
une étoile vient de briller dans mon ciel obscurci,
la lumière de l'espérance est là ! inéluctable .
Oh! que de tendresse dans ton regard
Oh! que d'amour dans tes yeux !
8 commentaires -
Romain Gary est le seul écrivain à avoir obtenu le Goncourt
à deux reprises grâce à un astucieux subterfuge, l’utilisation de pseudonymes.
Il obtient le premier Goncourt avec Les Racines du ciel.
Le second sera décerné vingt ans plus tard à La Vie devant soi, écrit sous le pseudonyme d’Emile Ajar.
c'est un pilier de la littérature française. Il s'engage pendant la guerre dans les Forces aériennes françaises libres,
il mènera par suite une grande carrière de diplomate et d’écrivain.
Il raconte dans La Promesse de l’aube sa vie passionnante c'est un hymne à l"amour maternel en mettant
un accent majeur sur sa relation avec sa mère.
C'est elle qui lui fait la route de sa vie et il est heureux .
Ce livre se révèle être biens plus qu’une simple autobiographie
Le film est splendide Charlotte Gainsbourg joue le rôle principal de la mère de Romain (sacré rôle les merveilles du maquillage )
La Promesse de l’aube est une véritable ode à la vie. il regorge de rires de pleurs , c'est en quelque sorte des séances de psychanalyse
pour lui . La présence suffocante de sa mère qui a traversée des echecs sans arrêts et qui veut son fils comme dans le poème
“Tu seras un Homme, mon fils”,écrit en 1910 par Rudyard Kipling
ce qui en fait l’un des plus beaux livres écrit sur l’amour d’une mère et le lien qui l’unit à son fils.
L'écriture est sublime , une chaleur d'amour s'en dégage ,les phrases se succèdes avec un enchainement ,tout est là pour en faire un
livre merveilleux et l'assurance de lire les écrits d'un auteur hors pair , et grand parmi les grands §
1 commentaire -
Voila ma dernière un peu spéciale ,Une toile en 3D ou en relief .
J'ai eu une lubie peut être ! mais bon ,je la partage avec vous .
J'ai voulu représenter ,une scène Paléolithique , avec des dinosaure et des ptérodactyles ,
les roches sur le devant sont des petits monts fait avec de l'écorce de sapin , quelques petites plumes
pour les ptérodactyles et de l'imagination au fur et à mesure .
La photo n'est pas superbe ,comme toujours , mais bon voila la toile !c'est une première pour moi !
j'ai des progrès à faire dans ce domaine LOL
Bonne soirée à tous mes amis
1 commentaire -
Ci dessus Voila une reproduction de la "chapelle " de Thomas Kinkade (19 janvier 1958 à Sacramento- 6 avril 2012 à Monte Sereno) etait hélas un peintre réaliste américain du XXe siècle.
c'est aussi un peintre qui savait manier la Lumière c'était et restera un as des as !! !!
Ci dessus Voila une idée à moi , en fait je l'ai réalisé au fur et à mesure de mon ressenti j'en suis content ,ma signature est en bas à gauche elle se voit mal !(bon je suis amateur )
voila pour aujourd'hui bonne visite et surtout postez des critiques bonnes ou mauvaises je vous en remercie
Ci dessus Deux tableaux de Hopper peintre de lumière j'adore !!
1 Colline du phare
2 The Long Leg là ou il y a le petit voilier
3 commentaires
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